On aborde dans ce nouveau numéro de OUF ! (revue pour les professionnels de santé concernés par l’oncologie), les sujets de la photobiomodulation, de l’onco-sexualité ou encore de l’intérêt des SOS dès le début du parcours de soins. On y parle aussi prévention avec le risque thrombo-embolique chez les patients atteints de cancer, la vaccination et la toxicité cutanée des anticancéreux.
Très bonne lecture !
Retour vers le futur ! La lumière comme traitement… non non, vous ne rêvez pas ! Voici comment une technique étudiée depuis longtemps par la science nous offre, en 2023, des perspectives thérapeutiques inédites ...
Pourquoi cette question ? La santé sexuelle (versant biologique de la sexualité), et son corollaire, la vie intime (versant psycho-émotionnel, identitaire et relationnel) sont des déterminants de bien-être et des marqueurs de santé globale...
En général ce type d’effets indésirables est plutôt bien géré à l’hôpital avec l’accès à des avis spécialisés. Alors en pratique que faire si l’oncologue du patient n ‘est pas disponible, ou...
La Ligue est une association de bénévoles, qui compte 103 comités départementaux, avec 4 missions prioritaires :
• Financer et contribuer à la recherche à hauteur de plus de 39 millions d’euros, ce qui fait de la Ligue le premier financeur privé associatif de la recherche ;
• [...]
Les patients immunodéprimés, tels que les patients atteints de cancer, présentent une morbi-mortalité plus élevée lors de certaines infections en comparaison à la population générale...
Les cancers ORL-VADS (Voies Aéro-Digestives Supérieures) représentent environ 13000 nouveaux cas par an en France, avec une majorité d’hommes (9 hommes pour 1 femme). Il y a une inégalité de représentation sur le territoire, avec une sur représentation particulièrement dans le Hainaut Cambrésis, où les cancers des VADS
sont responsables d’une surmortalité de plus de 25,3 % par rapport à la région Nord Pas de Calais, de plus de 59 % par rapport à la France Hexagonale, sur les vestiges de cet ancien bassin minier....
« accompagne » nombre de nos patients atteints de cancer, tout au long de leur parcours et parfois de manière répétitive : comme révélateur de la maladie cancéreuse, évènement postopératoire, effet indésirable des traitements, facteur potentiellement létal.
Le taux d’épuisement professionnel est au plus haut, l’absentéisme n’a jamais été aussi important, les démissions se multiplient, que ce soit dans les établissements sanitaires ou médicosociaux.
Même plus de 16 ans après la fin des traitements, 78 % des répondants vivent toujours avec des conséquences du cancer ou de ses traitements : 39 % d’entre eux ressentent encore de l’anxiété ou de l’angoisse, et 28 % vivent avec des douleurs chroniques.